L'épée de Damoclès

Voila comme je l'est dit a certain d'entre vous, j'ai une grande passions pour les mots, et ce qui m'attire le plus donc est l'écriture.
Je vais donc vous faire partager les première page de cet histoire, qui se veut tragique, mais aussi doté d'une tendresse éphémère.
J'éspère que cela vous plairat.



Durant mon enfance mon bonheur ne se comptait qu'avec les pièce de monnaie.
Je n'avais aucune idée de la souffrance des gens qui m'entourais.
Je ne pensait jamais avoir a chercher le bonheur car tout ce que je voulais, je l'obtenais.
Mais cet hiver tout a changer, en sorti mes parents me laissèrent dans notre superbe villa en compagnie de Liam notre servante.
Je doit l'admettre que pour sont âge Liam m'avait toujours attiré.
De long cheveux noire lui tombant au creux des rein, un teint de peau dorée dut a ses origine latine, des yeux d'une immense profondeur mais indiquant aussi une longue solitude.
Ainsi ma soirée débutât comme chaque nuit ou mes parents sortait dîner en amoureux.
Je m’allongeais sur le canapé, a t'chattez avec de divers fille sans intérêt pour moi.
Mais ce ne fut pas long, a peine quarante minute après le départ de papa, et maman le téléphone sonna.
Je vit Liam, verser quelque larmes a l'annonce que l'ont venais de lui dire au téléphone.
Après avoir raccrocher le téléphone elle vint s’asseoir face a moi toujours en larmes.
- Keil, je suis tellement désoler, me dit t'elle entre deux reniflement de tristesse.
- Liam, que se passe t'il, explique moi je t'en pris !
Elle n'arrivais plus a ouvrir la bouche pour parlez, mais je lu aisément dans sont regard qu'un malheur était arriver, que la peur envahissait sont ésprit.
- Ecoute Liam, si tu ne me dit pas ce qui est arrivez je ne pourrais rien faire pour toi, lui dis-je pensant que le malheur venait de s'abattre sur sa famille.
-Keil... tes Parents... nous... nous ont quitté.
Mon coeur se vit pris de fortes douleurs, comme si la main de dieu c'était décider d'écraser mon coeur par la force.
Je ne peut retenir mes larmes... mes parents venait de mourir.
Je me retrouvais ainsi seul, je n'avais plus aucune famille, qu'allais-je devenir, l'argent de ma famille ne pouvais plus me procurée le bonheur auquel j'escomptait.
Quelques jours après les funérailles de mes parents, l'avocat de mon père vint me voir a la maison, et m’informât que si je désirait hérité des biens de ma famille, il me faudrait obtenir le diplôme en fin d'année.
C'est ici que débute mon histoire, moi Keilan 19ans, orphelins milliardaire sous clause testamentaire.
Laissez moi donc vous la racontez.



L'année scolaire débutât bien vite après le décès de mes parents, j'avais eu la chance d'avoir un père prévoyant, m'ayant ouvert un compte bancaire avec de l'argent de coté en cas de problème.
Mais finalement, cet argent ne me serait inutile, car ne voulant en aucun cas attiré des personnes pouvant me gêné dans mes étude ou scrupuleuse en voulant a mon argent, je me fit passer pour un élève banale de classe moyenne.
J'avais choisit de suivre des cours de gestions, pour ne pas être perdu quand je reprendrais l'entreprise familiale, les cours me permettrait aussi de me vidée la tête, mais ce fut de courte durée.
A peine entrée en classe, tout les élèves déjà présent me dévisagèrent.
Aucune place n'était disponible.
C'est a ce moments la que je vit une place en fond de classe que je n'avais pas vue avant.
A cotez de moi, sièges une jeune fille, belle mais bourgeoise, elle ne pourrais donc en aucun collé avec le personnage que j'avais inventer de toute pièce.
Elle s'appelais Meilyn, de taille plutôt petite, je dirais dans les 1m52, des cheveux coupé en dégrader s’arrêtant au épaules, de tout petit yeux en amande illuminais ce doux paysage.
Elle me regardât avec insistance et au moment de m’asseoir elle m’interpella.
-Ecoute le nouveau, tu m'a bien reluqué, maintenant ne t'avise plus jamais a me regardez ainsi ou tu le regrettera ! Me menaça t'elle.
Je détournait le regard, ne prenant pas cas de sa menace tellement sa voix si douce et mielleuse hantait encore mes pensé.
Se premier cours de gestion fut vite passé sans aucun problème pour une première journée, je fut heureux de rentrer dans ma petite chambres d'étudiant pour retrouver mon colocataire Nicolas.

Nicolas était une personne en qui j'arrivais a trouver confiance, plutôt calme et discipliné, il n'hésitait pas a me dire ce qui n'allais pas.
Et puis faut ils dirent qu'il était assez imposant de par sa grande taille et aussi muni d'une musculature d'athlète.
Se jours la je lui racontait ainsi comment c'était passer mon premier cours de gestions, des menace que m'avais fait Meilyn et de la sensation qui m'avais envahie quand j'avais entendu sa voix pour la première fois.
-Ecoute Keilan, cette fille n'est pas faite pour toi, tu est un homme pauvre, elle ne trouvera jamais aucun intérêt a être avec toi, et qui plus est il est dangereux de rester prêt d'elle, me prévint t'il.
Écoutant ainsi ces conseil avisez je fuyais le regard de Meilyn le lendemain, et ainsi de suite je continuais tout en évitant les contacts avec elle.
Mais je devais admettre que sa voix me manquais, je ne saurait pas donner de raison a cela.
Les jours s’enchaînait et le manque devint de plus en plus difficile a supporter, que m'avait elle fait, je ne comprenait pas.
J'ai ainsi décider de casser cet barrière que j'avait moi même crée entre nous.
Je la rejoignit ainsi dans les allée de la bibliothèque de l'université.
- Excuse moi Meilyn pourrait tu m'aider j'ai du mal avec les cours de gestion, lui mentit-je.
- Quoi encore... t'est trop occupé a me mater plutôt que d'écouter le prof ou quoi, s’esclaffât t'elle.
- Euh non, je ne comprend simplement pas
- Dans ce cas lâche moi et va voir le prof, je suis pas la pour t'aidez, me dit t'elle tout en s'éloignant.
Je ne comprenait pas j'avait fait en sorte de ne pas la regardez ni lui parler avant se jours, pourquoi dit elle que je m'amusait a la regarder ainsi...